Alain Blondel, Disparités IV, (2015)
Huile sur bois, 2015.
Rencontres fortuites et nécessaires, toujours surprenantes, de formes labiles, plurielles, évanescentes, surgissantes, aux variations grisantes. Sur la toile ou le papier, l’œil se pose, plonge, s’émeut, caresse, écoute, hume, lappe, se fond dans un univers mouvant que la sérénité baigne cependant. C’est au cœur de cet espace dense, vibrant, généreux, que se rencontrent le peintre et le spectateur, aux confins de la matière et de l’imaginaire.
Huile sur bois, 2015.
Rencontres fortuites et nécessaires, toujours surprenantes, de formes labiles, plurielles, évanescentes, surgissantes, aux variations grisantes. Sur la toile ou le papier, l’œil se pose, plonge, s’émeut, caresse, écoute, hume, lappe, se fond dans un univers mouvant que la sérénité baigne cependant. C’est au cœur de cet espace dense, vibrant, généreux, que se rencontrent le peintre et le spectateur, aux confins de la matière et de l’imaginaire.
Huile sur bois, 2015.
Rencontres fortuites et nécessaires, toujours surprenantes, de formes labiles, plurielles, évanescentes, surgissantes, aux variations grisantes. Sur la toile ou le papier, l’œil se pose, plonge, s’émeut, caresse, écoute, hume, lappe, se fond dans un univers mouvant que la sérénité baigne cependant. C’est au cœur de cet espace dense, vibrant, généreux, que se rencontrent le peintre et le spectateur, aux confins de la matière et de l’imaginaire.