Alain Blondel, Symbiotiks, tryptique, (2019).
Cire d’abeille etpeinture à l’ huile sur toile, (2019).
“Pourquoi le vert, l’appel du vert ? Ses variations stimulent la profusion vitale, attisent la multitude des vies minuscules. Le vert prend sens par la matière qui le porte. Étonnamment, il mène au rouge, à la nécessité du rouge, couleur difficile, censée fixer la perception. Travailler le rouge pour lui donner la même profondeur que le vert et retrouver ainsi leur union originelle : jusqu’au XIVe siècle, le vert et le rouge portaient le même nom héraldique, sinople. Les enlumineurs le savaient.” Extrait du texte de Laurence Campa.
Cire d’abeille etpeinture à l’ huile sur toile, (2019).
“Pourquoi le vert, l’appel du vert ? Ses variations stimulent la profusion vitale, attisent la multitude des vies minuscules. Le vert prend sens par la matière qui le porte. Étonnamment, il mène au rouge, à la nécessité du rouge, couleur difficile, censée fixer la perception. Travailler le rouge pour lui donner la même profondeur que le vert et retrouver ainsi leur union originelle : jusqu’au XIVe siècle, le vert et le rouge portaient le même nom héraldique, sinople. Les enlumineurs le savaient.” Extrait du texte de Laurence Campa.
Cire d’abeille etpeinture à l’ huile sur toile, (2019).
“Pourquoi le vert, l’appel du vert ? Ses variations stimulent la profusion vitale, attisent la multitude des vies minuscules. Le vert prend sens par la matière qui le porte. Étonnamment, il mène au rouge, à la nécessité du rouge, couleur difficile, censée fixer la perception. Travailler le rouge pour lui donner la même profondeur que le vert et retrouver ainsi leur union originelle : jusqu’au XIVe siècle, le vert et le rouge portaient le même nom héraldique, sinople. Les enlumineurs le savaient.” Extrait du texte de Laurence Campa.