Georges Ward Tjungurrayi - Tingari, (2002)

5 000,00 €

• Acrylique sur toile, 2002

• 60 x 60 cm

• Certificat: Muk Muk Aboriginal Art & Yapa Gallery

• Artiste: Georges Ward Tjungurrayi

George Ward Tjungurrayi est né à proximité du site de Lararra, au sud-est de Kiwirrkura, vers 1945, le plus jeune d’une fraterie d’artistes. George a observé le travail de ses frères Yala Yala et Willy Tjungurrayi, qui étaient parmi les principaux artistes de Papunya Tula à Walungurru. Ce n’est que dans son adolescence qu’il a rencontré les Européens pour la première fois, lorsque la patrouille de la division de la protection sociale de Jeremy Long est tombée sur sa famille, campée près d’un point d’eau dans le désert.

Il commence à peindre en 1976, et se démarque par son style. Les toiles qu’il a commencé à produire pour les artistes de Papunya Tula à Alice Springs ne ressemblaient en rien à celles du mouvement artistique du désert: sombres, cérébrales, à l’intellect projeté en émergent avec force le rappel à la couleur du sable du bush australien, qui était à l’origine le seul support sur le quel les aborigènes dessinaient leurs thèmes sacrés et secrets. L’effet optique est à la fois étonnant et sobre dans sa modernité, paradoxe récurrent dans l’oeuvre des meilleurs peintres. Ce qui peut apparaître comme entièrement abstrait est en effet lié avec la réalité des lieux, le rythme des saisons ; d’ailleurs les aborigènes perçoivent les vibrations optiques de ces toiles comme le signe de la présence des ancêtres en elles.

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• Acrylique sur toile, 2002

• 60 x 60 cm

• Certificat: Muk Muk Aboriginal Art & Yapa Gallery

• Artiste: Georges Ward Tjungurrayi

George Ward Tjungurrayi est né à proximité du site de Lararra, au sud-est de Kiwirrkura, vers 1945, le plus jeune d’une fraterie d’artistes. George a observé le travail de ses frères Yala Yala et Willy Tjungurrayi, qui étaient parmi les principaux artistes de Papunya Tula à Walungurru. Ce n’est que dans son adolescence qu’il a rencontré les Européens pour la première fois, lorsque la patrouille de la division de la protection sociale de Jeremy Long est tombée sur sa famille, campée près d’un point d’eau dans le désert.

Il commence à peindre en 1976, et se démarque par son style. Les toiles qu’il a commencé à produire pour les artistes de Papunya Tula à Alice Springs ne ressemblaient en rien à celles du mouvement artistique du désert: sombres, cérébrales, à l’intellect projeté en émergent avec force le rappel à la couleur du sable du bush australien, qui était à l’origine le seul support sur le quel les aborigènes dessinaient leurs thèmes sacrés et secrets. L’effet optique est à la fois étonnant et sobre dans sa modernité, paradoxe récurrent dans l’oeuvre des meilleurs peintres. Ce qui peut apparaître comme entièrement abstrait est en effet lié avec la réalité des lieux, le rythme des saisons ; d’ailleurs les aborigènes perçoivent les vibrations optiques de ces toiles comme le signe de la présence des ancêtres en elles.

• Acrylique sur toile, 2002

• 60 x 60 cm

• Certificat: Muk Muk Aboriginal Art & Yapa Gallery

• Artiste: Georges Ward Tjungurrayi

George Ward Tjungurrayi est né à proximité du site de Lararra, au sud-est de Kiwirrkura, vers 1945, le plus jeune d’une fraterie d’artistes. George a observé le travail de ses frères Yala Yala et Willy Tjungurrayi, qui étaient parmi les principaux artistes de Papunya Tula à Walungurru. Ce n’est que dans son adolescence qu’il a rencontré les Européens pour la première fois, lorsque la patrouille de la division de la protection sociale de Jeremy Long est tombée sur sa famille, campée près d’un point d’eau dans le désert.

Il commence à peindre en 1976, et se démarque par son style. Les toiles qu’il a commencé à produire pour les artistes de Papunya Tula à Alice Springs ne ressemblaient en rien à celles du mouvement artistique du désert: sombres, cérébrales, à l’intellect projeté en émergent avec force le rappel à la couleur du sable du bush australien, qui était à l’origine le seul support sur le quel les aborigènes dessinaient leurs thèmes sacrés et secrets. L’effet optique est à la fois étonnant et sobre dans sa modernité, paradoxe récurrent dans l’oeuvre des meilleurs peintres. Ce qui peut apparaître comme entièrement abstrait est en effet lié avec la réalité des lieux, le rythme des saisons ; d’ailleurs les aborigènes perçoivent les vibrations optiques de ces toiles comme le signe de la présence des ancêtres en elles.